Selon les historiens, cette grotte à multiples entrées aurait pu servir de sépulture collective. On trouve des traces d'occupation de la cavité depuis l'âge de Bronze jusqu'au Moyen-âge. Lors des campagnes de fouilles, des ossements ainsi que de nombreux objets furent découverts dans les galeries principales de Peyroche. Plus récemment, en 2011, une galerie toute proche fut découverte par des spéléos locaux. Outre des volumes très importants, ils eurent la surprise d'y découvrir une peinture rupestre, une tête de cheval. Baptisée le Gouffre Emilie, du nom de la fille du propriétaire sur lequel s'ouvre cette grotte ainsi que l'aven Bizac, cette cavité fait sans doute partie du même réseau que les grottes de Peyroche. Pour autant, il ne semble pas que la jonction ait été réalisée ou même, que celle-ci soit possible. Compte tenu de son importance, cette cavité est désormais fermée.

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