Cet aven fut exploré par Robert de Joly le 27 août 1934, un an avant sa découverte retentissante de l'Aven d'Orgnac (voir). Outre des galeries richement concrétionnées et de nombreux ossements d'animaux, il fit alors la macabre découverte du squelette entier d'un individu disparu trente ans plus tôt. Isolé, cet aven n'est pas très visité mais n'en reste pas moins dangereux. Lors d'une visite en 2010, le cadavre d'un sanglier en état de décomposition avancée, gisait au pied de l'éboulis. Sans doute l'animal y fit une chute mortelle. Désormais, un grillage sommaire ceinture l'entrée de la cavité afin que les chiens ou autre animaux n'y fassent plus de chute accidentelle.

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